GIACOMO PUCCINI: LA RONDINE (REZENSIONEN)

GIACOMO PUCCINI: LA RONDINE (REZENSIONEN)

03.04.2018 , Agentur , Rezension Ivan Repušić, Rezensionen 0

rec. live, Prinzregententheater, München, 2015
CPO 555 075-2 [66:59 + 33:20]

Hier finden Sie die wichtigsten Zitate aus Rezensionen der nationalen und internationalen Presse.
Diese Auswahl erhebt keinen Anspruch auf Vollständigkeit.

Culturale GB Opera von Giordano Cavagnino (9. Juni 2018)

Giacomo Puccini (1858 – 1924): “La rondine” (1916)

…In questo clima di nuovo interesse per “La rondine” rientra anche l’esecuzione monacense del 2015 registrata dall’etichetta CPO con un suono di qualità spettacolare per una registrazione dal vivo. Alla guida dei sempre validi complessi della Radio di Monaco è stato chiamato il giovane direttore croato Ivan Repušić, autore di una prestazione di notevole interesse. Repušić guarda al lavoro pucciniano con una sensibilità mittel-europea quasi a recuperare l’originaria destinazione viennese. Una visione che sa sfruttare i ritmi danzanti che dominano i primi due atti – e in primis sua maestà il walzer – non come semplice elemento di ambiente sonoro ma come preciso strumento narrativo secondo un’ottica prettamente viennese ma non impropria a questa scrittura. Repušić, inoltre, non teme di lasciarsi andare quando il momento lo richiede e non teme nemmeno di far irrompere un’energia popolaresca a dare maggior corpo a un’eleganza che a lungo potrebbe snervarsi. Si senta con quale vigore viene accompagnato il coro dei venditori che apri il II atto o la sincerità delle atmosfere del caffè chantant e, se il preludio marino del III atto è meno impressionista di quanto la tradizione vorrebbe, ha però una presenza sonora di sicuro effetto…

forumopera.com von Christophe Rizoud

Hirondelle ou mouette ?

…En octobre 2015, le Munich Radio Orchestra placé sous la direction d’Ivan Repušić choisissait d’inaugurer sa saison au Prinzregententheater avec cette œuvre mal-aimée. L’événement aurait pu passer inaperçu si le label CPO n’avait décidé d’en publier le témoignage en un coffret de deux CD, dans des conditions sonores irréprochables pour un live. Etait-il cependant nécessaire d’ajouter une nouvelle ligne à une discographie irrévocable ? A cette question, la tentation serait forte d’apporter une réponse négative si la version proposée ne constituait une heureuse alternative.

D’abord opérette commandée au Carltheater à Vienne, haut-lieu du genre, La rondine transmuée en comédie lyrique finit après quelques changements d’orientation par se poser sur le rocher de Monte-Carlo. La direction d’Ivan Repušić rend plus qu’une autre sensible les origines viennoises de la partition. La valse envahit chaque mesure du discours orchestral, non par ce mouvement souple avec lequel elle s’emploie à tourner sur trois temps depuis sa conquête du monde, mais dans un geste plus accentué, parfois brusque, qui rappelle ses balbutiements au casino Dommayer à Hietzing, dans les faubourgs de Vienne. Moins alangui, l’orchestre ne s’épanche que lorsque les sentiments l’autorisent. Le vin coule à flot au Bal Bullier mais pas une note ne déborde. L’agitation polyphonique reste sous contrôle. La brise maritime du 3e acte délaisse les embruns debussystes pour d’autres moins impressionnistes. Pourquoi la vérité dramatique ne pourrait-elle prendre le pas sur l’élégance dans un ouvrage auquel on a trop souvent reproché sa désinvolture ?…

musicweb-international.com von Göran Forsling

…The aural picture is excellent with good balance between soloists, chorus and orchestra and conductor Ivan Repušić draws splendid playing and singing from his forces. Not least the opening chorus of act II is stunningly performed, lively and rhythmically alert, and he has the idiomatic sweeping lilt for the Viennese waltz in the same act…

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